Arrivés de nuit, c’est de nuit que nous quittons le mouillage sans savoir exactement dans quel cadre nous nous trouvions. La houle nous accueille dès le dépassement de la pointe sud de l’ile. Le vent s’établit tant bien que mal, toujours de face. Le moteur ronronne, nous avançons à 5 nœuds. Dépassé l’embouchure du Rhône la houle se fait moins importante et laisse place au clapot soulevé par le vent de nord-ouest. Nous aidons le moteur avec les voiles et atteignons la vitesse de 7 nœuds. Nous arrivons à couper le moteur et garder une vitesse raisonnable sous voile. Les Saintes Maries sont laissées sur tribord, les premières cardinales du rivage de Camargue apparaissent. Il est 17h30, nous passons la cardinale nord de l’entrée de Port –Camargue. Fin du périple qui aura duré près de 3 mois.

 Theleme aura parcouru 3013 milles nautiques, Yanmar effectué 420 h de moteur, consommé 550 litres de gas-oil (moyenne conso 1,3 l/h à 5 nœuds).

Je tiens à remercier tous les membres d’équipages qui se sont succédé à bord. La bonne humeur et la bonne cuisine ont toujours été présents. La vie dans un espace aussi restreint n’a pas toujours été facile pour les uns et les autres, certains caractères s’imposant plus que d’autres. Je pense que tous mes navigateurs ont été enchantés par les paysages, le farniente, les baignades, la pêche, les contacts avec les différents îliens. L’expérience a, une fois de plus été positive grâce à la compréhension et la bonne volonté de chacun.  :

-Ralf et sa gourmandise de la vie ;

- Nancy et son humeur égale (c’est aussi mon épouse) ;

- Maryse l’infirmière, masseuse, qui s’entoure d’une multitude de corps flottants pour se mettre à l’eau ;

- Roger notre artiste graphique, 2 mois à bord, apprenti pêcheur (a obtenu son diplôme), joueur avec les mots et les idées ;

- Anthony (mon fils préféré) et son pote Sylvain, les geeks déjantés, fous de musique et indétrônable sur la confection des mojitos;

- Amélie et Mathilde nos sirènes, adeptes du selfy et spécialistes des crises de fous rires;

- Lucette (dit Luce), cuisinière hors-pair (nous avons  a même eut droit à de la confiture d’orange « Theleme »), avec son accent pied noir qui nous transporte d’un mot sur d’autres rivages de la Méditerranée ;

- Alain mon pote depuis des années, toujours présent sur le pont et sous le pont, volontaire pour tout.

Un grand merci à tout les lecteurs de ce blog et aux commentateurs, qui ont fait monter le compteur de visites à 1820 pages lues à ce jour..

A bientôt,

Jean-Claude, dit le capitaine.

Nous voulions partir tôt mais la météo nous en a dissuadés. La houle formée la veille sur la côte occidentale atteignait 2m et elle ne se calmait que vers 10 h, donc le départ a été donné à 8h.

Le vent de sud-est nous pousse à 7 kts jusqu’à l’île de la Giraglia, puis la houle d’ouest nous soulève (ce qui était prévu) et enfin après 3h de navigation nous retrouvons un peu de calme. Le soir tombe, un fin croissant de lune fini sa course vers le couchant, la mer est d’huile seulement ridée par une houle longue et légère. Toute la nuit se fera au moteur et dans le petit matin très humide, nous découvrons les îles d’Or, formées de l’île du Levant, de Port Cros et de Porquerolles. Nous sommes le vendredi 29 aout, nous passons devant la plage d’Argens avec un courant qui nous pousse à près de 1 nœud vers l’ouest. La météo annoncée pour les heures prochaines ne nous est pas favorable, aussi toute la flottille continue vers Marseille pour se rapprocher le plus possible de notre destination finale. Les traînes sont à l’eau et à l’approche de l’île du Frioul, enfin une touche, hélas c’est un goéland qui a mordu l’hameçon. Nous le ramenons à bord, 10 minutes pour le décrocher sans le blesser et le voilà reparti. Nous arrivons au mouillage de nuit dans une baie où l’on distingue à peine les occupants. La « Bonne Mère «  de ND de la Garde veille sur nous sous la faible lueur des lumières de la ville. La nuit est paisible seulement agitée vers deux heures par un clapot gênant.

Passage entre ile de la Giraglia et le cap Corse                      Cap Corse extrême nord de l'île

 Les clanques de Cassis éclairées par la couchant                            Récupération du goelend

                        Un hameçon dans le bec et un autre dans

                                la patte pas facile à déméler

Mardi, réveil dans ce joli port de Macinaggio. Après la "toilette" de Theleme, les courses d'usage pour les produits frais et le repas de midi, la sieste s'est imposée pour tout le monde. La plage étant proche, Alain et moi-même allons nous baigner (Roger toujours interdit de baignade à cause de son oreille). 

Selon la force du vent demain nous irons mouiller en face du port, le vent est annoncé de l'ouest donc nous serons à l'abri de la houle. Mais cela c'est demain..... Le soir Roger nous prépare un poulet citron au lait de coco et riz basmati, un régal. Dodo de bonne heure pour tous. Bonne nuit les pinzutu.

Mercredi 27 aout

Grace matinée jusqu'à 8h, ensuite préparatifs pour aller faire une randonnée dite des chapelles, vers la colline qui surplombe Macinaggio. Le temps est beau assez frais et le vent souffle à 40 noeuds. Nous passons dans les sous bois pour grimper vers le village de Rogliano. Nous embrassons la mer qui est blanche et nous découvrons l'île d'Elbe située à 60 Km, Kapraia à 30 Km. Nous passons dans ce village paisible bercé par le ronron de la douzaine d'éoliennes qui le domine. Il y a effectivement quelques 7ou 8 chapelles, églises, anciennes, abandonnées qui couronne ce bourg accroché à la garrigue et aux rochers verdâtres et violines.

             Digue est du port                                                    La plage et la ville en arrière plan

            Vue de  iles italiennes                                                                              Rogliano    

                                                                Toujours Rogliano

Réveil matinal pour ne pas arriver trop à Macinaggio. Le vent est établi au sud-est mais nous ne sommes pas très sûrs des prévisions météo. Nous sommes d’abord au moteur puis le vent donne un peu plus et nous arrivons en face de la ville. Mouillage ou port ????. Une telle question car Eole souffle maintenant en rafales à plus de 30 nœuds du sud. La baie étant ouverte au sud-est, nous n’avons pas envie de nous faire secouer. Ce sera donc le port avec son confort, sa possibilité de se dégourdir les pattes et surtout de dormir sereinement. Pas trop cher : 45 €.

Le problème est que nous allons y rester au moins 3 jours, vu que les prévisions annonce un coup de tabac de l’ouest avec des vents à 30 Kts. 

    Le point culminant d'Elbe                                     A l'approche de la Corse, il s'est dérouté pour nous éviter.

Réveil de bonne heure dû à la houle qui ne s’est pas aplatie, nous avons été très balloté. Dès l’ancre levée, voiles hautes, vent travers pour 15 kts, vitesse 6,5 avec des pointes à 7.4 nœuds, le pied !!!! Après 4 heures de navigation et une bonite de 1 mètre perdue (pas le temps de prendre la photo) au moment de la sortir, nous arrivons dans une jolie baie, très large, protégée du nord-est, dans laquelle de très grosses unités (voiliers 2 mats et 5 barres de flèches, ou petits paquebots de 50m et plus) sont stationnées. Nous trouvons une place proche du port de Porto Azzuro, par 10 mètres de fond. Ce soir ce sera restau pour tous. De la flottille il ne reste que Aranui et nous, les autres ont pris de l’avance et à cette heure doivent être sur la route du Cap Corse ou de Macinaggio. Nous avons donc dégusté d’abord un apéro en terrasse, puis une pizza et une bouteille de blanc dans un minuscule restaurant proche du port. Retour au voilier. Dodo au calme.

          Bonapart'ment                                                                           entrée du port

                                                   Le souvenir du passage de notre Empereur

                       La place à 15 h                                                          La même à 19h 

                      Poséidon                                                                  rue

            Petit bateau deviendra grand                                    Roger se déchaîne

Nous quittons Ponza vers 8h pour couvrir la distance en arrivant, nous l’espérons, le matin à Giglio. Un voilier de 5 mats se profile à l’horizon. Nous lambinons un peu pour le voir arriver. C’est un navire de luxe pour plaisanciers argentés. Tout est équipé sur enrouleurs électriques. Quelques photos et cap au 305. Le vent est faible, la houle assez forte. Nous serons au moteur une bonne partie de la journée. Les quarts sont faits, nous nous préparons à la nuit. Les étoiles filantes filent, les pêcheurs pêchent, le voilier navigue. Les lumières terrestres défilent, celles de Rome apparaissent. Le petit matin apparait, soleil orangé, la nuit s’échappe. Giglio apparait dans la brume, le vent monte d’un cran .Nous sommes à la voile, 10 minutes plus tard, nous rentrons la grand-voile. Arrivée devant le port il y à 30 nœuds en rafales. Nous nous faisons refouler du port au motif qu’il y a un ferry. Il faut attendre sa sortie pour pouvoir faire du carburant. Ce qui se fait ½ h après, mais impossible de rester 10mn de plus pour acheter du pain. C’est un bon accueil. Nous repartons sous génois seul avec des rafales à 42 nœuds vers un mouillage à l’est de l’île. L’endroit est idyllique pour les vacanciers mais pour le mouillage c’est plus délicat. En effet le fond descend très vite et nous devons mettre l’ancre au raz de la limite de plage pour éviter d’avoir à mouiller dans 20 m d’eau. La manœuvre terminée, le vent tourne de 180° et nous voilà face à la houle. Nous restons tout de même. Annexe à l’eau, nous allons acheter du pain et quelques légumes. J’en profite pour acheter une carte WIFI à 5€ (pas de wifi dans les bars) et à la terrasse d’un café je me fais aider par le serveur. Lui non plus n’arrive pas à faire la connexion. Nous retournons au voilier et là surprise : ça marche, pas trop rapide mais c’est mieux que rien. Dodo pout tout le monde, c’est ce que l’on espérait, parce que toute la nuit nous avons été bousculés par la houle. 

               La sentinelle au réveil                                            Beau voilier !!!!!!

     Falaise, remarquer les fenetres                                          Coucher de soleil

               Coin de baignade à Campese (Giglio)                                  Le mouillage

Encore une sentinelle                                                                  Mouillage Giglio

ATMOSPHERE

                Pour moi, la journée commence à 4 heures. Alain vient me réveiller et je prends sa suite à la barre, pour le dernier quart de nuit.

                Mer calme, pas de vent, moteur.

                Il me fait un café pendant que nous observons une lumière qui arrive sur nous à tout berzingue … Finalement, ce sera un paquebot…. Plusieurs milliers d’êtres qui transitent, inconscients, dans la nuit…

                Alain est parti dormir.
                Magie de ces quarts qui alternent moments d’intense concentration, où l’on fouille la nuit à s’en faire mal aux yeux, aux aguets de tous les signes que la mer et le ciel peuvent offrir/cacher, avec des moments de contemplation où le rythme s’étire et s’arrête… Le ciel, Orion et sa nébuleuse,  avec, de temps en temps, un retour aux instruments : tout est normal, le bateau file sa route… On vérifie même que le temps s’écoule….

Les vers de Heredia (les Conquérants) reviennent en tête (pour les étoiles ignorées).

                Le moteur tourne, amical, rassurant… Je vois les feux de route d’Aranui, notre compagnon de route.
                4 heures 50. Une lumière, dix degrés au-dessus de l’horizon, par le travers arrière, sur bâbord… Trop haut pour un phare, trop loin pour un avion en approche sur Fiumicino…

Cinq minutes plus tard, le fin liseré du croissant d’une lune finissante se révèle mieux à travers les nuages, fil roussâtre entre les bancs de brume.

Un cargo passe, loin derrière.

Tiens, une étoile filante.

Ma prochaine attente ? Que l’Est s’éclaircisse : le jour va bientôt poindre.

Je commence à distinguer, malgré ma frontale éclairée,  deux couleurs différentes à l’horizon : le ciel et, en plus sombre, quelques bancs de nuages : c’est le signe : ce samedi, le lever du jour aura bien lieu !

Les étoiles, les plus petites, commencent à pâlir, à disparaître.

Partout l’horizon choisit une autre couleur que la mer, dont on perçoit les houleuses ondulations moirées…
L’Est, toujours sombre, se teinte de lie-de-vin noire.

Puis, la couleur change en rose ou en vert, selon les endroits.

Un avion au-dessus : je vois ses quatre feux.

La mer aussi prend des tons de rose.

Je commence à deviner Aranui : d’ abord la coque, qui semble noire, puis les voiles.

Les phares jettent leurs derniers éclats : dans un quart d’heure, on ne les verra plus.
Ca y est : il fait jour… Non, plutôt que « il fait », je préfère « il est » jour…

Le soleil se lève, Jean-Claude aussi.

Que ce temps immobile a fui à une incroyable vitesse !

                                                                                                                             Roger

Réveillés par une houle venu d’on ne sait où, le départ, après un contact VHF avec Aranui (au port ) se fait à 9h. La mer est belle le vent mou, mis rapidement il s’oriente au sud-ouest et nous donne la belle sensation de faire de la voile. Il nous portera ainsi jusqu’à Ponza. L’arrivée vers 14h nous permet de mettre l’annexe à l’eau pour faire un tour dans le village. Il est surplombé par une multitude cubes de couleurs pastel. Certains sont des habitations mais à l’entrée de la baie c’est un cimetière qui porte ces nuances. Notre mouillage est bordé par des falaises sur lesquelles sont perchées des maisons mais aussi des restaurants avec vue sur l’île. L’entrée est gardée au sud par un îlot sur lequel trône un phare et au nord par une stèle naturelle de pierre juste à l’orée du  port.

                   Entrée du port                                                      Arrivée à Ponza

                        Le port                                                           Le village

                      La sentinelle                                                          Rochers

                     la gardienne toujours                                                Le village

Nuit calme malgré la houle perpétrée par les ferries du matin. Il en passait toute les 10 mn à 2 ou 3 nautiques de la plage.  Après essai de l’annexe, toujours des entrées d’eau. Cela ne nous empêche pas d’aller effectuer quelques achats au village. Aranui qui avait passé la nuit au port nous appelle par VHF. Il signale qu’il va passer devant notre mouillage et donc on va se raccrocher « au wagon ». La houle est grosse, de 1,5 à 2 m, et le vent faible au départ devient suffisant pour couper le moteur. Nous arrivons en vue de l’île et décidons de rallier un mouillage au sud-ouest. Aranui et Kanou vont s’installer au port (10 €/mètre), Marie Galante parti ce matin de bonne heure est sans doute au mouillage à Ponza, Eden en visite à Procida et Ischia. Pour nous le cadre est magnifique. Nous sommes au pied d’une falaise aux multiples couleurs et formes. Cela débute par des bruns foncés et passe par des ocres pour finir par des verts irisés. Les formes en strates régulières se terminent par des blocs de basaltes incrustés dans l’aplomb du tombant. En fin d’après-midi, un orage de faible importance nous arrose pendant quelques minutes, puis le soleil orangé reparait et illumine la falaise. Merveilleux !!!! La nuit tombe et la houle faible nous berce pour la nuit.

                   Datura rose                                                         le port

                  encore  le port                                                        falaise

             La rue

                                                    La falaise 

Départ avant la ronde infernale des bateaux à moteur. La côte majestueuse défile sous nos yeux, dévoilant des grottes, des criques invisibles 2 minutes avant et disparaissant aussi soudainement qu’elles sous sont apparues, d’anciennes tours de guets sur tous les caps et éperons, des maisons et villas nichées au creux des rochers avec une vue imprenable sur la méditerranée, la nature tantôt exubérante de pins, d’oliviers, tantôt maigre et brûlée par un précédent incendie.

Nous doublons le cap Termini et nous découvrons l’île Capri qui fait rêver dès que l’on prononce son nom. Nous voguons vers la partie sud est où se situe la fameuse arche. Après un petit tour nous prenons  la direction nord pour rejoindre le port de Capri. Une nuée, là encore, de bateaux à moteur, petits et grands, anciens ou moderne se croisent dans  une anarchie de vagues  en désordre. Nous avions l’intention de mouiller au sud du port mais le vent et les passages incessants des visiteurs, nous à fait renoncer à notre projet. Direction l’île de Procida distante de 15 milles. Le vent est établi et c’est génois seul que nous continuons, tout en déjeunant tranquillement. 16h 30 arrivée dans un lieu abrité des vents du sud et en face d’une très grande plage, bordée de parasols. Il y a une centaine de bateaux à l’ancre et nous trouvons un endroit assez dégagé pour passer la nuit. Quelques heures plus tard nous sommes quasiment seuls. Il ne reste plus que 5 voiliers dont Marie-Galante qui est allée récupérer des équipiers à la marina Procida. Aranui, Kanou et Eden ont préférés le calme (je pense relatif) du port. L’heure est à la réparation de l’annexe qui prend l’eau à l’arrière d’un boudin. Après identification de la fuite, application d’une pate silicone. Il faudra toute la nuit de durcissement pour l’utiliser à nouveau. 

                Capri                                                            toujours Capri, pas terrible !!

                  Coucher de soleil                                                  Capri coté sud-est

                        Il Vésuvio                                                                           l'arche

          Les deux soeurs à Procida                                             Partie de pêche

 Je n'ai pas mis les photos dans l'ordre parce qu'au mouillage avec des creux de 1m c'est pas facile d'utiliser la souris ou même de taper les mots.

Agropoli, adieu, adieu… etc etc mais nous ne sommes pas à Agropolis. 10 h nous quittons ce port de riche proche de Capri et de la baie de Naples (70 € la nuit, pfuuut !!!). Direction Amalfi au nord de la baie de Salerne. C’est parait-il un endroit magnifique. Nous sommes partis un peu tard, pour mouiller devant ce port pour déjeuner. Nous avons le vent légèrement de côté. Rapidement Roger nous demande de nous arrêter pour remonter 2 petites bonites, puis une troisième. Le vent se cale dans la bonne direction et nous naviguons à 5 nœuds à la voile. Nous rallions le mouillage de Positano. Direction la terre où Alain fait le taxi en annexe. La plage est tellement petite que les annexes ne sont pas acceptées et les bateaux taxis font des allers-retours pour déverser les visiteurs, ce qui provoque une belle pagaille aux abords du chenal très étroit. La ville est construite sur les hauteurs, des ruelles minuscules serpentes entre les maisons et les magasins aux enseignes prestigieuses. Les hôtels ont minimum 3 étoiles et les restaurants affiche un tarif qui nous freinent dans notre envie de nous restaurer. Après une heure de ballade nous appelons notre taxi par VHF et retour sur Theleme toujours au milieu du balai de bateaux taxis qui nous rasent à très grandes vitesse. Sur l’annexe nous avons les fesses mouillées par les vagues produites. Ils sont fou ces italiens.

            La flotille au mouillage                                                  Petite plage

              Vue du haut du village                                   La plage d'arrivée sabns les annexes (interdit)  

            Paysage minéral                                                                       Plage de Positano

                Le village dans son écrin                                                  l'écrin du village

Nous ommes le samedi 23 aout , il est 20h13, nous sommes dans un mouillage en face d'un village devacances. J'ai acheté une carte WIFI 5 € chez Britelcom, cela fait une heure que je galère pour me connecter. Enfin j'ai une connection lente mais elle est là, pour 2 heures, normalement. 

Je continue mes messages et avec un peu de chance j'éditerai la semaine de retard.